Je ne crois pas être le seul lorsque je dis que j'ai parfois l'impression que ma vie est faite d'écrans.
De nos jours, tout passe par la fameuse lumière bleue, pour le travail, comme les loisirs. Que ce soit au travail pour finaliser une prez de dernière minute qui aurait dû être prête la semaine dernière (on la connait, celle-là), ou un petit film en streaming sur son ordi perso, notre vie est baignée de numérique.
Rares sont les moments où nos yeux ne sont pas imprégnés par des images en mouvement et nos oreilles, par le doux (ou pas si doux que ça) son des notifications.
Avoir accès à tout cet univers numérique, c'est bien, mais à force, ça fatigue. Et pas qu'un peu.
Tout ça vous parle ?
Alors, parlons de fatigue numérique !
Les principaux symptômes étant :
Vous pourriez penser que c'est un truc de comptable qui regarde des chiffres toute la journée à 2 cm de son écran, mais non ! Les comptables les plus aguerris, comme les jeunes créa-cools du monde du marketing peuvent être touchés par la fatigue numérique !
Pour faire simple : la fatigue numérique touche aujourd'hui près de 1 Français sur 4. Et ce phénomène a tendance à s'amplifier avec la digitalisation croissance de notre quotidien.
Les manifestations de l'épuisement numérique s'observent particulièrement en milieu professionnel, où 42% des cadres (culture-rh.com) déclarent subir une surcharge cognitive quotidienne.
On parle de 275 interruptions en moyenne par jour !
Déjà que de nombreux collaborateurs avaient l'habitude de regarder leurs mails aux 5 minutes, mais à cela s'ajoutent maintenant les notifications Teams, les messages sur Notion, et tout le tralala.
Cette hyperconnexion, en plus de nuire au bien-être physique des collaborateurs, peut entraîner une diminution de la productivité de l'entreprise.
La surconsommation d'écrans altère durablement les fonctions cérébrales : une exposition quotidienne de plus de 7 heures provoque une réduction de 15% du volume de matière grise dans les zones liées à la mémoire et à l'apprentissage.
L'accumulation de lumière bleue perturbe la production de mélatonine, dérègle les cycles naturels de sommeil. Des recherches menées en 2025 révèlent que chaque heure supplémentaire d'utilisation d'un écran est associée à une augmentation de 63 % du risque d'insomnie et à une réduction de 24 minutes du temps de sommeil.
Les conséquences s'étendent au système musculo-squelettique : postures inadaptées devant les écrans, mouvements répétitifs sur smartphone engendrent des tendinites chroniques et des déformations vertébrales.
La bonne nouvelle, c'est que nous avons une super règle à vos partager.
La règle du 20-20-20 !
La technique est assez simple, il suffit de regarder un point situé à 20 mètres pendant 20 secondes, et ce, toutes les 20 minutes passées devant votre poste de travail.
Un exercice simple mais puissant consiste à cligner des yeux 10 fois très lentement toutes les 20 minutes. Cette méthode naturelle permet de réhydrater la surface oculaire et prévient la sécheresse.
L'utilisation d'un logiciel comme Workrave rappelle automatiquement les pauses visuelles nécessaires pendant votre journée de travail.
Les verres avec filtres anti-lumière bleue représentent également une solution technique éprouvée, particulièrement adaptée aux longues sessions devant l'ordinateur.
On conseille aussi d'aménager son espace de façon plus ergonomique. Positionnez votre écran à une distance d'un bras, légèrement incliné vers l'arrière, et ajustez sa luminosité en fonction de l'éclairage ambiant.
Et si vos yeux sont aussi secs que le pelage d'un mouflon à manchette du Sahara en pleine journée d'été, des gouttes ophtalmiques lubrifiantes peuvent toujours aider à maintenir une bonne hydratation.
La surcharge informationnelle frappe particulièrement durant les pics d'activité professionnelle. Un collaborateur moderne reçoit en moyenne 125 notifications par jour sur son smartphone, tandis que sa boîte mail accumule près de 80 messages quotidiens.
Ce tsunami numérique provoque une saturation de notre pauvre cerveau.
Comme on l'a dit précédemment, la concentration chute, mais en plus de ça, une étude indique qu'un collaborateur met 23 minutes pour retrouver sa pleine capacité cognitive après une interruption numérique !
Devant ce constat, certaines entreprises instaurent des plages horaires sans notification, permettant à leurs équipes de récupérer leur capacité d'attention optimale.
Il faut savoir que personne n'est 100 % protégé contre une potentielle surcharge cognitive.
Mieux vaut donc rester alerte et apprendre à détecter les signaux d'alerte physiques et mentaux. Votre corps vous parle et vous alerte à l'aide des symptômes dont nous avons discuté plus tôt (cela peut aller des maux de tête récurrents, à des troubles de la vision, une tension de la nuque, des troubles digestifs, etc.).
Au niveau mental, la désorientation temporelle devient fréquente : vous perdez la notion du temps passé devant les écrans. La difficulté à prendre des décisions simples s'installe progressivement, même pour des choix du quotidien comme la planification des repas.
Des changements comportementaux apparaissent : l'irritabilité face aux notifications, l'impossibilité de rester concentré sur une tâche unique, l'oubli répété des rendez-vous. Le soir, malgré la fatigue physique, votre cerveau reste en état d'hyperactivité, rendant le sommeil difficile.
Une sensation de débordement mental permanent et l'incapacité à profiter des moments de pause constituent des alertes majeures à ne pas négliger.
La maîtrise du flux numérique passe par donc par de vraies actions concrètes au bureau.
Comment alléger votre charge ? Voici quelques conseils :
Un environnement digital bien structuré réduit considérablement la charge cognitive.
Vous êtes adepte de la propreté dans la vie ?
Alors, sachez que cette propreté devrait aussi se répercuter sur votre vie numérique.
Une routine numérique équilibrée commence par des gestes quotidiens simples.
Et si rien n'y fait, pourquoi ne pas combattre le feu par le feu ?
Pourquoi ne pas utiliser les applications intelligentes pour lutter contre l'épuisement numérique ?
On ne va pas se mentir : la frontière entre vie connectée et vraie pause est de plus en plus floue. Pourtant, retrouver un équilibre, c’est loin d’être mission impossible. Tout part de petites habitudes bien placées.
Chez vous, misez sur des « zones no screen » : chambre, cuisine, salle à manger… Ces espaces sans écrans permettent de vraiment déconnecter. Et surtout, ils rappellent à votre esprit que non, tout ne doit pas forcément passer par un écran.
Des sessions de digital-detox peuvent aussi s'avérer fort pertinentes dans les moments où vous en sentez le besoin.
On sous-estime souvent l’impact de l’environnement de travail sur notre bien-être numérique. Pourtant, quelques ajustements bien pensés peuvent changer la donne.
Commencez par l’essentiel : placez votre écran à hauteur des yeux, à une distance raisonnable (environ un bras). Une lumière naturelle bien dosée (ni trop directe, ni trop sombre) améliore aussi la concentration, sans fatiguer vos yeux.
Pensez aussi à varier les positions : un bureau réglable, c’est la clé pour alterner assis/debout et éviter les douleurs du télétravail marathon. Ajoutez un repose-pieds, un support de documents, et vous obtenez un poste de travail qui fait du bien – à votre dos comme à votre esprit.
Quand le mental sature, inutile de fuir dans une énième vidéo. Mieux vaut faire une vraie pause mentale. Voici quelques techniques simples à adopter :
La fatigue numérique ne disparaît pas toute seule. Mais avec quelques bonnes pratiques, elle devient largement gérable.
Essayez de planifier vos moments connectés et vos moments sans écran sur la semaine. Créez un espace de travail épuré, centré sur l’essentiel. Et si vous bossez sur des sujets complexes ? Éloignez les écrans et revenez aux bases : un carnet, un stylo, du papier.
Enfin, pensez aux outils qui vous veulent du bien. Certains logiciels analysent vos habitudes numériques et vous suggèrent, en toute discrétion, de changer de posture ou de faire une pause.
Pas pour vous fliquer, mais pour vous aider à tenir sur la durée – sans finir en mode « cerveau grillé ».
***
Enfin, si votre journée ressemble parfois à un tunnel d’écrans, sachez qu’il existe une sortie. Il ne s’agit pas de tout couper, mais de mieux doser. Et vous verrez : même 10 minutes sans écran peuvent avoir plus d’effet qu’une heure à scroller !
Yes, with the 'Campaigns' offer, it is possible to track the number of clicks on the email signatures of all your employees in the 'Statistics' area of the platform.
You can then access a detailed or global view of the number of clicks on the email signatures of each employee. You can use the search option to target a specific signature or a given period. Finally, you have the possibility to export all statistics to an Excel document.
If you launch campaigns with banners inserted in your email signatures, you can also access their performance via this same space.
With Letsignit, you can easily add social network icons in your collaborators' email signatures and link to your company pages. Also, our "attributes" feature allows you to manage personalized URLs for each of your collaborators such as their individual LinkedIn profile.
And that's not all: you can add links to an appointment-setting application, allow your customers to leave reviews easily, and integrate our 'Chat on Teams' widget to let anyone start a discussion via Microsoft Teams chat.
It’s up to you! As an administrator of the Letsignit platform, you choose whether or not to grant modification rights to your employees. These permissions are managed on an attribute-by-attribute basis, which means that you can decide to allow the employee to change their phone number, but not the address of your premises, for example.
This feature applies to all attributes in your directory, including custom attributes created on Letsignit. When your employees change one or more attributes, your directory is obviously not affected.
It often happens that employees make their email signature their own: custom format, bad fonts, colors inconsistent with the brand standards... all of this has an impact on your brand!
A consistent visual identity is considered authentic and outperforms a perceived weak one by 20%. And, your customers are 2.4 times more likely to buy your products.
With Letsignit, take back control over your brand identity by standardizing all your email signatures. Our tool has many features that allow you to customize your signatures by department, by audience or by subsidiary. Not to mention the possibility of carrying out campaigns within your email signatures thanks to our Campaign offer.
What is the user experience like for our employees?
In both cases:
In short, they have autonomy in their email signature, but you keep control on the field, signatures, and banners they can edit or use.
With our "multi-signature" feature, your employees can benefit from multiple email signatures. No technical manipulation is required. Thanks to our Add-in for Outlook or the desktop app, they can change their email signatures as they wish with just a few clicks.
Regarding the creation of email signatures, you can make several variations such as:
Everything has been thought of to go further in the personalization process based on the recipient of your emails.
If sending emails has an impact, non-optimized email signatures also have an impact. An unsuitable format or an image that is too heavy considerably increases the size of your signatures... and therefore, your emails.
As a responsible economic actor, we contribute to reducing our CO2 emissions and those of our customers in several ways:
As we are increasingly involved in sustainability initiatives, our priority in 2023 is to develop even more green IT functionality.
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